A propos

A propos - qui sommes nous ?

Paola Cicoria - promotrice du projet
et co-fondatrice de l'association
Page LinkedIN Mon univers philosophique

Une association basée dans l'Ain (01210)


EFSF est une association loi 1901 créée le 25 juin 2020 - sous la dénomination de Emploi et Formation Sans Frontières (EFSF).

Objectif : faire reconnaître un droit opposable à l'emploi et à la formation et proposer un projet de réformes socio-économiques instaurant un Système de Salaire Citoyen.

Ce projet associatif émerge sous mon impulsion novatrice, passionnée et révoltée.
Je suis Paola Cicoria - 50 ans, domiciliée dans l'Ain (01210) 
Ainsi.
Il est le produit d'un travail acharné de réflexion que je mène depuis 2013, d'abord avec la création de Philo's Force Association - think tank - laboratoire d'idées dédié à l'innovation sociale, puis à présent en créant une mobilisation citoyenne autour d'un projet bien précis et opérationnel dénommé 'projet de Système Salaire Citoyen'.

Je cherche donc à constituer une équipe solide et motivée pour développer l'action de l'association (nouveaux membres, volontaires, membres d'honneur, porte-paroles, communicants, juristes, économistes, mécènes ... ) De rudes combats nous attendent car le chantier est titanesque, mais il est loin d'être utopique !

Tout commence par un sentiment d'indignation.

Comment peut-on accepter que le dramatique phénomène du chômage soit un fléau mondial qui ravage des vies au quotidien du Nord au Sud de la planète ?
Est-il admissible que des millions et des milliards d'êtres humains soient contraints et résignés à subir, non seulement la précarité sociale et économique qui découle du chômage mais aussi et surtout le désoeuvrement qu'il impose !? 

Le désoeuvrement est une souffrance psychologique profonde, car il correspond à un sentiment d'inutilité personnelle, un sentiment de dévalorisation et de non reconnaissance par la société des qualités professionnelles, des aptitudes, des dons et des talents de chaque personne !
Au delà-même de la détresse et de l'humiliation qu'il provoque, le désoeuvrement doit absolument être combattu, car il est la négation pure, simple et violente de la bonne volonté et de la force active potentielle de chaque citoyen au profit de la collectivité.

Mettons nous au défi de trouver lequel d'entre nous n'aurait pas la capacité de se rendre utile aux autres ?
Du premier au dernier, du plus au jeune au plus vieux, du plus instruit au plus malin, du plus malade au plus handicapé, nous avons tous des compétences à mettre au service de la société !
Et pourtant, à cause du système, ces précieuses compétences restent totalement inexploitées, perdues pour l'humanité !!!

Et ce pourquoi ? Parce que l'on nous explique que la conjoncture économique est défavorable, que la raréfaction du travail est induite par la robotisation ?
En réalité le système oeuvre simplement à nous convaincre faussement et à nous résigner à une situation inadmissible qui viole nos droits fondamentaux.
Car le droit à l'emploi existe bel et bien, inscrit dans le marbre, mais il n'est pas respecté. Le temps est venu de l'imposer en imposant parallèlement une obligation de résultat aux gouvernements dans la mise en oeuvre des politiques de lutte contre le chômage.

Nous considérons qu'il incombe à la société civile – dans une démarche revendicative mais éminemment constructive - de faire respecter le « droit à l’emploi » comme un droit universel applicable et effectif (et non plus comme un privilège réservé à certains).
Cela passe par la présentation auprès des pouvoirs publics, d’une proposition concrète pour la mise en œuvre d’un plan d’action novateur, sous les traits d’un projet de société à part entière, porteur d’un modèle alternatif de développement social et économique. Tel est précisément l’objet du projet associatif.

Saisissons l’occasion qui nous est offerte par l’ère du temps - entre la récession économique à l’horizon, la présence aux manettes d’un gouvernement (en France) prédisposé à certaines tournures de solution, et l’état de préparation philosophique de la société - pour lancer à point nommé une véritable révolution sociale on ne peut plus pacifique et ‘smart’.

Il s’agit de faire entendre aux gouvernants qu'il est nécessaire et possible de conceptualiser un nouveau système de représentation et d’organisation du travail.
Il s’agit aussi de dessiner une vision de l’entreprise moderne en la poussant à intégrer un nouveau paradigme productif, porteur de nouvelles valeurs en lien avec la reconnaissance d’une culture humaniste, pour permette à chacun de s’y épanouir, au lieu de la subir.

Le projet associatif ambitionne de transformer la société via l’articulation de différentes réformes. A ce titre, il porte un caractère type de ‘programme politique’ et risque d'être récupéré par des candidats ou des partis politiques qui se l’approprient ...

Le projet associatif lance un appel à tous les citoyens, en particulier aux Gilets Jaunes bien-sûr, car ils sont déjà mobilisés et en quête de sens.
Il lance un appel aux bénéficiaires des minima sociaux, aux chômeurs de longue durée, aux entrepreneurs, aux auto-entrepreneurs et indépendants, aux bénéficiaires de la prime d’activité, aux allocataires à vie de l’Allocation Spécifique de Solidarité, aux jeunes désoeuvrés des quartiers populaires, aux étudiants, aux travailleurs pauvres, aux seniors sans emploi, aux retraités dans la misère et à tous les profils atypiques qui ne trouveront jamais leur place dans notre société ultra exigeante, ultra spécialisée et ultra sélective sur le marché de l’emploi.

Le projet se veut universel, comme une voix et une voie pouvant être portée par tous les citoyens aux quatre coins du monde.

Reprenez le, adaptez le, partagez-le, intégrez le à vos vies, à vos actions et à vos pensées pour un monde meilleur !

On doit arrêter de vouloir faire toujours uniquement ce qu’il est possible de faire. Non, il faut apprendre à rendre le nécessaire possible ! 

Il n’y a pas d’utopie, car l’utopie, c’est juste la réalité de demain.
Alors construisons la ensemble dès aujourd’hui !

Bien amicalement et solidairement, Paola Cicoria.
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